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 Je suis Déesse.

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Flidais
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Flidais


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le dieux vénéré : Je suis vénérée par les peuples de la terre
Date d'inscription : 27/08/2007

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MessageSujet: Je suis Déesse.   Je suis Déesse. Icon_minitimeMar 17 Nov - 17:04

1.

1er Janvier de l'an 2015.

Je m'appelle Amemétia, fille de Thor et d'Athéna. Je suis née aujourd'hui. Je suis une déesse. Mon père est un excellent combattant et le défenseur de Midgard, ou je vis. Ma mère est la déesse de la guerre, de la sagesse, de la pensé et des armes. Je ne suis pas une déesse dévoilée. Je dois rester secrete. Parce que la liaison de mes parents n'est pas aprouvée.

Je vis depuis seulement 5 petites minutes. Mais je sens déjas que je vais faire de grandes choses. Mon pere me prends dans ses bras en ce moment. Il me dit qu'il va devoir aller me porter dans l'Helheim. Je ne veux pas aller vivre la. Les gens sont vivants la-bas. Pas ici.

Il me montre a ma mère, elle pleure. Il lui dit que je dois partir, que c'est le moment. Les larmes coulent sur ses joues dorés. Je voudrais les attrapés. Je ne peux pas. Pas encore. Je suis trop petite. J'ai 7 minutes de vie maintenant.

Des bras musclé de mon père, je vois les nuages. Il marche doucement dessus, comme sur de la ouatte. Il me dépose dans les nuages, se penche vers moi, me donne un baiser sur la joue et me laisse tomber dans le monde des vivants. Je n'oublierais jamais les larmes sur les joues dorés de ma mère, ni les yeux bleus de mon père qui viennent me dire adieu.

2.

J'ai aujourd'hui 5 ans. Mais je suis trop grande. J'ai l'air d'avoir 17 ans. Je ne parles pas suffisement pour qu'ils m'envoient a l'école qu'ils disent. Pourtant je sais parler. Mais je n'ai rien a dire. Alors je me tais. Je n'aime pas les humains. C'est pour sa que je me tais. Ils sont méchants et ne comprennent rien. Ils croient que la planete leur appartiens. C'est faux. La seule chose qu'ils possedent, c'est leur âme. Mais ils ne le savent pas. Ils ne croient pas en sa. Ils disent que c'est stupide. Ce n'est pas stupide, je ne serai pas la sinon.

Je me suis fait adoptée par des gens biens. Tu sais, quand mon père m'a laisser tomber des nuages? Ils m'ont trouver. Ils ne savaient pas qui j'étais. Alors ils m'on appeller Kelly. A 1 ans, je leurs ai dit que Kelly, c'étais le nom d'un chien. Je leurs ai aussi dit que mon nom c'était Amemétia. Ils m'ont dit que c'était impossible que j'ai un autre nom.

Je n'étais pas d'accord. Je n'étais pas d'accord avec beaucoup de choses d'ailleurs. Les gens n'aiment pas les désacors. Moi, je les adores. Mais j'aime plus les animaux. Alors je reste avec eux. Mes parents adoptifs disent que ce n'est pas normal. Que je devrais vivre plus avec les enfants de mon age. Quel age ai-je réellement ? Les enfants de 5 ans sont capricieux et ils chicannent beaucoup. Je ne les aimes pas non plus.

J'aime les grenouilles. Elles sont vertes et gluantes. Elles on de gros yeux globuleux noirs qui te regardent avec crainte. Mais quand tu les connais, quand tu leurs parle. Elles n'on plus de crainte dans les yeux. Elles deviennent des amies. Ce sont mes amies. J'aime prendre leurs forme parfois et me cacher dans le jardin. Annita, ma mère adoptive, n'aime pas sa. Elle dit que les enfants normaux ne font pas sa. Qu'ils ne peuvent pas changer de forme comme moi. Ils n'ont pas de chance, les pauvres.

Annita ne veux pas que je change de forme. Parfois, elle dit qu'elle a peur que je reste dans cette forme. Je sais que ce n'est pas vrai. Elle a juste peur de moi. Roger, mon père adoptif, n'a pas peur de moi lui. Il dit que je suis un miracle tomber du ciel. Il ne sait pas a quel point il a raison. Il dit aussi qu'il devrait y avoir plus d'enfant comme moi. Je ne suis pas d'accord. Je suis capricieuse et unique. Je veux rester unique.

Tout a l'heure, dans la maison, il y avait un homme. Monsieur Bourgault. Il s'occupe des enfants qui on des problêmes psychologique. Il ne sait pas ce que j'ai. Il n'a jamais vu sa avant. Il n'aurait pas pu d'ailleurs. Annita était désespérée. Roger lui a dit de ne pas s'inquieter, qu'il allait me parler.

Il ne m'a pas encore parler. Mais je sens que c'est bientot. Il cherche dans sa tête des mots. Il cherche les bon mots a dire. Il n'y en a pas. Il perds son temps. Je voudrais lui dire, mais il continuerais a chercher. Alors je le laisse chercher.

En attandant, je pense aux grenouilles du jardin. Elles sont belles. Je les aimes beaucoup. Je ne sais pas pourquoi je pense toujours aux grenouilles. Mais je les aimes, alors je continue d'y penser. Roger a fini de trouver ses mots. Je le sens. Je le sens toujours, quand quelqu'un pense. Trop de gens pensent. Roger viens me voir.

-Viens Amé. Je dois te parler, qu'il dit.

Je vais le voir. Il a l'air soucieux. Probablement une mauvaise nouvelle qu'il va devoir me dire. C'est rare qu'on me dit des bonnes nouvelles. Il ouvre la bouche et me dit sa:

-Écoute Amé. Tu sais comme moi que tu n'es pas une enfant normale. Tu te change en toutes sortes d'animaux et tu ne parles presque pas. Mais on sait tout les deux que tu es une jeune fille extrèmement brillante.

Il arrête de parler. Le plus dur arrive. Je le sais, je le sens. Il avale une fois, ouvre encore la bouche et continu.

-Monsieur Bourgault qui était là tout a l'heure crois qu'on devrais te placer dans une maison pour les gens qui on des problêmes particuliers. Il ne cr...

Je n'écoutais plus. Un asile. Voila ou ils voulaient me mettre. Voila la mauvaise nouvelle que j'attendais. Je ne voulais pas aller la-bas. Comme je n'avais pas voulu venir ici, dans l'Helheim. Mais cette fois j'avais le choix. On ne voulait pas me le laisser. Mais je n'irais pas la-bas. Certainement pas. Je découvrirais le monde. Peut-être que je trouverais quelque chose d'intéressant. Peut-être pas. Je verais bien. Peut-être aussi que je trouverais le temple de papa. Alors je pourrais retourner chez moi. Le vrai chez moi.

-...Je sais que sa dois être dur pour toi de comprendre tout sa, mais...
-Non. Je n'irais pas. Je ne veux pas y aller. Je vais partir avant. Il viens me chercher mercredi. Mais je ne serai plus là.

Roger me regardais abasourdi. C'était ma plus longue phrase. Je n'avais jamais parler autant. Je me levais de table et partis vers ma chambre.

Des meuble partout. Pleins de vêtements inutiles. Je fesait mes bagages. Le strict minimum. Une brosse a dent, une brosse a cheveux, une camisole de lin beige, mes sandales romaines et bien sur, ma grenouille préféré. J'ai pris du papier avec moi et un crayon. Je me suis assise sur mon lit et je pense. Écrire. Une lêttre a Annita et Roger. Comme je le fais si bien. J'écris sa:

''Annita tu me décois, je ne t'aime pas. Roger je t'aime, tu va me manquer. Amemétia. ''

Je plie la feuille et la mets sur mon oreiller. Je sais qu'ils ne viendront pas me déranger avant le souper. Je dépose mes choses sous le bureau. Je me change en grenouille et je descends dans la cuisine.

Je saute marche par marche. J'arrive en bas. Je ne dois pas faire de bruit. Je saute encore vers la cuisine. Je dois faire attention aux souliers pointus d'Annita. Je trouve de la nourriture sur la table. C'est mon assiète. Je la mange rapidement, sous la forme d'une grenouille. Je descends de table. Personne ne m'a vu. Je remonte dans ma chambre en sautant. Je me change encore. Je suis redevenue moi. Je prends mes bagages et j'ouvre la fenêtre. Je saute par dessus le rebord, et je dit bonjour a la vie.

3.

J'ai 8 ans aujourd'hui. Sa fais 3 ans que je suis partie de chez Roger et Annita. Je suis grande maintenant. J'ai changer. Beaucoup. Trop même. Je ne crois pas grandir plus. Je n'espere pas grandir plus. Je mesure 6 pieds. C'est très grand pour une fille. J'ai les yeux bleus. Comme Thor, mon père. J'ai les cheveux noirs. Ils m'arrivent en bas des fesses, comme maman, Athéna.

Annita et Roger m'on chercher longtemps. Ils mettaient des affiches partout dans la ville. Je les regardais faire. Longtemps j'ai fais sa. Je ne savais pas ou aller. Après quelques mois je me suis lassée de cette situation. Je suis partie. J'ai marcher longtemps. Sans jamais arreter.

Je suis partie de Saint-Canut. J'ai traverser la ville de Saint-Colomban, qui est juste a coté. Ensuite j'ai marcher longtemps, très longtemps dans des plaines et des forêts. Je suis arrivée a Brownsburg. J'ai encore marcher. Sans jamais arreter. Je ne sentais pas la fatigue. Je ne suis jamais fatiguer. Alors j'ai continuer de marcher. J'ai atteint Grenville. Les gens étaient sensiblement les mêmes. Je ne trouvais pas que j'étais assez loin. Alors j'ai continuer de marcher. Mais j'étais fatiguer de marcher dans cette direction. Alors j'ai changer de cap. Sa m'a ammener en Ontario. A Pointes-aux-chênes. J'ai nager pour traverser la frontière entre le Québec et l'Ontario. C'était facile. J'étais une grenouille.

Apres j'ai marcher longtemps et j'ai arreter de regarder le nom des villes que je traversais. Sa serai trop mélangeant de me souvenir de toutes les villes que je verrais. Une fois, j'ai regarder le nom de la ville ou j'étais. Sa s'appellais Montgomery.

Quand j'ai commencer a parler a des gens, je me suis rendue compte qu'ils ne parlaient plus la meme langue que moi. Alors j'ai compris que j'étais aux États-Unis d'Amérique.

J'ai passer par le Vermont. Je suis ensuite aller quelque pars nommé New York. J'ai marcher encore très longtemps et je suis arrivée au Maryland. Ensuite, j'ai découvers les autobus. Ils m'on emmener jusqu'au Tenessee. Je n'ai pas aimer les autobus. Alors j'ai continuer de marcher. Je suis arrivée quelque pars, mais c'était trop petit alors je n'ai pas retenue le nom.

Ensuite je suis allée quelque pars ou il fait vraiment chaud. Je crois que sa s'appellais Puerto Vallarta. La aussi j'ai compris que j'avais changer de pays. Parce que sa ne parlais pas le francais, comme au Canada, ni l'anglais comme aux États-Unis. Alors je me suis renseignée. J'étais au Mexique. C'est l'espagnol qu'ils parlent eux.

Donc j'ai commencer a l'apprendre. Comme j'avais fais pour l'anglais. Comme sa je pourrais comprendre ce que les gens disent.

J'ai seulement pu constater que les gens disaient pas mal la même chose dans ce pays la aussi. Puisque je trouvais que tout ces gens étaient plates a toujours parler des même chose et a avoir les mêmes problêmes, j'ai marcher très longtemps. Mais j'étais fatiguer de marcher, alors j'ai découvers la course. C'est plus rapide. Et je ne m'esouffle jamais. Alors j'ai continuer de courir jusqu'a cette ville, Ushuaia.

Il y avait beaucoup de personnes qui étaient surprise de me voir la-bas. Beaucoup trop de gens qui posaient des questions. Alors je suis partie prendre l'avion a Rio Grande. Ils m'ont déposer dans le pays ou il fait le plus chaud. Du moin, c'était le plus chaud que j'avais jamais visiter. Sa s'appellais le Namibia, c'est en Afrique du sud.

La-bas non plus ils ne parlaient pas la meme langue. Combien de langues existait-il dans ce monde ? Beaucoup trop pour moi. Mais j'étais curieuse. Alors j'ai appris cette langue aussi. Apres quelques temps, j'ai fini par trouver le but de mon voyage. Alors j'ai pris le train, l'avion, le bus et j'ai couru longtemps pour me rendre a Rome.

Il y avait cet hotel, le Grand Hotel Palatino sur la Via Giovanni Lanza. C'était très beau. Mais il y avait un avantage. C'était proche du Colosseo. Le Colosseo, c'est la ou beaucoup de choses on commencer pour les dieux et les déeses. Alors je trouvais qu'il représentais une partie de moi. Je vis donc maintenant sur la Via Dei Strada Statate 4.

4.

J'ai 10 ans, aujourd'hui même. Je suis partie depuis 5 ans de chez Roger. Je pense souvent a Roger, pas a Annita. Je n'aime pas Annita, je ne l'ai jamais aimer. Aujourd'hui, il pleut, c'est triste. Mais parfois, quand il pleut je sors dehors et je marche. Comme sa, pour rien. Et je regarde le monde. C'est fou comme les choses changent quand il pleut. Les murs des maisons ne sont plus blancs. Ils deviennent tout gris. Comme aux États-Unis. Les paravents sont tous rangés. Alors il n'ont plus de belles couleurs. Mais on vois mieux les arbres. Alors c'est gris et vert. Comme dans les forêts du Mexique.

Tiens, je vais sortir aujourd'hui. Je prends mes sandales, j'ouvre la porte et je sors. Il y a quelques rayons de soleil qui percent les nuages. C'est beau, sa fais comme dieu qui me donne de la lumière. Ou peut-être que c'est papa.

Je marche sur ma rue. Tout droit, sans arreter. Bientôt, je vais arriver au Colosseo. Je le vois, il est devant moi. Mais quelqu'un arrive d'une maison et me bloque la vue. Alors je ne le vois plus. Je demande a l'homme de se pousser un peu. Mais il ne fait que se tourner vers moi et me dit sa:

-Pardon je ne parles pas l'Italien.

Il me le dit en francais. Alors je comprends. Je lui répètes en francais, de se pousser un peu, parce que je ne vois plus le Colosseo. Il me réponds sa:

-Oh, pardon. Je ne voulais pas vous couper le Colosseum de votre vue. Je ne vous avait d'ailleurs pas vu.
-Ce n'est pas grave, que je lui réponds, personne ne me vois jamais.

Il a l'air désolé. Je ne comprends pas pourquoi. Je ne veux pas que les gens me voient. Ils se poseraient des questions sur moi sinom, non? Mais il me réponds cela,

-Je me présente, Stéphen Tremblay. Vous êtes ?

Je suis surprise. Il me parles encore. Normallement les gens me disent au revoir apres une si longue conversation. Ils n'aiment pas parler avec moi. Je ne parles pas assez. Mais pas avec Stéphen. Lui, je lui parles beaucoup.

-Je suis Amemétia Pallas.
-Pallas, c'est comme Pallas Athéna? C'est drôle non?

Wow. Il est super bon en mythologie. Il connait ma mère. Je suis impressionée par lui.

-Oui. Tu veux venir te promener avec moi dans Rome? Je peux te faire visiter. Si tu veux.

Je ne comprends pas mon élan. J'ai toujours été seule avant. Sa ne me cause pas de problêmes. Je n'aime pas les humains. Mais lui, Stéphen Tremblay, je l'aime bien. Il est gentil, avec moi. Il regarde sa montre, il n'est pas sur. Il pense. Il pense encore, mais pas aussi longtemps que les autres. Il me dit, tout de suite après,

-D'accord pourquoi pas! Une petite visite de Rome avant de partir chez moi ne devrais pas me tuer!

Il me sourit. Il est heureux. Je suis heureuse aussi. Je découvre ce sentiment, être heureux. Alors on marche. Partout, dans toutes les rues. Et je parle. Je parle beaucoup. Je lui explique l'histoire de Rome. Comment la ville a été fabriquée, quels sont les dieux et les déesses qui y ont été vénérés. Après 2 heures, il me dit que je connais beaucoup de choses sur la mythologie romaine. Il me demande pourquoi.

-Parce que j'ai lu 132 livres qui en parlaient. Quand j'étais petite.

Et il me pose des questions sur ma vie. Qui sont mes parents. Ou je vivais avant. Si j'ai des frères, des soeurs. Si j'avais des animaux. J'ai quel âge. Alors je lui réponds, pendant des heures je lui réponds. Mais je ne lui dis pas toute la véritée. Je ne lui dit pas que mes parents sont le dieu Thor et la déesse Athéna. Il ne me croirait pas. Il partirait. Je ne veux pas qu'il partes. Pas tout de suite.

C'est le soir. Le soleil commence a se coucher. Bientot il va faire noir partout. Alors les lumières vont s'allumer et vont éclairées les rues. Stéphen me parle beaucoup maintenant. Il m'explique sa vie. C'est intéressant.

Lui aussi est adopté. Il n'a pas de famille sinom. Il a juste un loup. J'aime les loups. Je lui dit que j'ai une grenouille et qu'elle est belle. Il me réplique que les grenouilles c'est stupide et sa ne sers a rien.

Je ne suis pas d'accord. Je n'aime plus Stéphen. Parce qu'il n'aime pas les grenouilles. Je lui dit et il me réponds tout sérieux,

-Attends, ne t'en va pas. Je suis désolé d'avoir dit que les grenouilles sont stupides. Elles ne le sont pas. Ce sont des amphibiens très intelligents. Certaines grenouilles on la capacitée de changer leur sexe pour pouvoir assurer la survie de leur espèce, tu savais?

Je souris, un peu. Il ne veux pas que je partes. Je trouve sa amusant et réconfortant. Quelqu'un dans ce monde m'aime au moin un peu.

Je commence a lui parler des grenouilles. Je lui dit tout ce que je connais sur celles-ci. Il est impressioner. Il me dit qu'il doit partir. Il doit se trouver une chambre d'hotel. Je lui réponds exactement sa:

-Viens chez moi. J'ai une chambre en trop et je vais pouvoir te parler plus longtemps encore.

Il pense. Il est surpris que je lui propose sa. On ne se connais que depuis quelques heures après tout. Il pense encore. Je ne croyais pas qu'une si simple proposition ferait réfléchir a ce point. Il fini de penser et il me dit sa:

-J'accepte d'aller chez toi a une seule condition. Que tu me laisses t'inviter au restaurant pour souper.

Je suis abasourdie. Je n'arrive pas a croire qu'il viens de me demander sa. En plus il a accepté de venir chez moi. Je lui réponds que c'est d'accord. Ensuite je lui dit qu'on devrais se dépècher de rentrer, mes vêtements sont tous trempés.

Stéphen m'emmène dans un restaurant chic. Une chance que j'ai mis une toge romaine. Je ne suis pas trop ''out'' dans le décor. Je ne sais pas vraiment quoi faire. C'est la première fois que je vais au restaurant. Stéphen parle avec une dame. Je ne la connais pas. Elle a un gros livre dans les mains. Elle regarde dedans et dit quelque chose a Stéphen. Il lui fait signe de tête que sa va être correct et il viens me chercher.

Il y a beaucoup de gens ici. Trop de gens. Stéphen est obliger de me prendre la main, pour me tirer vers la table que la dame lui avait indiquer.

Sa main est froide. Très froide. Trop froide. Mais je ne dit rien. J'ai toujours eu trop chaud. Notre table est isolée des autres. Il y a deux chaises de chaque coté de celle-ci et les couvers sont mit. Je ne comprends pas. Il y a 3 cuillères, 2 fourchettes et 1 couteau. Je n'ai que deux mains pourtant.

Mais je ne dit rien. Je n'ai rien dit depuis que nous sommes partis de chez moi. Stéphen s'en est rendu compte. Et d'autre chose aussi. Parce qu'il me dit,

-J'espère que sa ne te dérange pas d'être a pars des autres comme sa? C'est juste que je trouvais que les autres hommes te regardaient un peu trop a mon goût.

Il est jaloux. Et possessif. Je ne savais pas que j'étais belle. On ne me l'avais jamais dit, avant. Pourquoi suis-je belle? A cause de mes yeux bleus? Ou a cause de mes cheveux noirs? C'est ma peau blanche? Ou mon corps parfait? Je ne sais pas quoi dire a Stéphen. Alors je garde le silence. Il est curieux. Il se pose des questions dans sa tête. Il va me les poser bientôt. Je le sens.

J'ai bien sentie, parce qu'il me demande:

-Est-ce que tu va bien?

Je ne sais pas vraiment quoi lui répondre. Je ne sais pas vraiment si je vais bien ou pas. Je ne me suis jamais demander si j'étais belle ou pas. Je n'ai jamais eu besoin de me poser ces questions. Jamais. A quoi sa m'aurais servi de toute facon? Mais je réponds a Stéphen. Parce qu'il attends une réponse.
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