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 J'arrive du futur.

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Flidais
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Flidais


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le dieux vénéré : Je suis vénérée par les peuples de la terre
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MessageSujet: J'arrive du futur.   J'arrive du futur. Icon_minitimeMar 17 Nov - 15:56

1.

Je fermais les yeux et profitais du moment de paix que j'avais. J'avais la tête bien installée dans le creu de l'épaule de mon petit-ami et j'écoutais les oiseaux chanter doucement. En cet instant, rien ne venait troubler ce moment de paix exquis. J'étais arrivée en Écosse depuis seulement quelques heures. Mon vol avait pris du retard a cause des orages qui avaient éclatés un peu partout dans le pays.

Le vent se leva et vint déployer mes cheveux autour de mon visage rougit par le soleil. Je plantais encore plus mon visage dans son épaule et il serra plus fort autour de ma taille. Les nuages vinrent tranquillement s'ajouter au ciel et le vent devint plus fort encore. J'ouvris les yeux et vit que le ciel avait pris une teinte plutôt inquiétante. Je m'assie dans l'herbe fraiche et serrai la main de mon amoureux.

-Il va commencer a pleuvoir on devrait rentrer avant de se faire prendre par la pluie.

Il s'assit a mes côtés et me vola un baiser avant d'ajouter calmement,

-Sa presse pas, on a rien a faire...On est en vacances je te rapelles. Et puis c'est juste de la pluie, on est pas fait en chocolat a ce que je saches ?

Je lui sourit et pensais que je ne pouvais vraiment rien lui refuser. Mais que cette fois je devrais pourtant devoir garder mon opinion.

-Non. Tu sais que si j'attrapes le rhume sa peux être dangereux pour le petit. Je veux pas qu'il soit malade en naissant.

Il poussa un soupir et acquiessa. Bien au moin il tenait a la santé de son fils. En fais, je me servais de cette situation comme d'une excuse pour bien des choses. Je l'utilisais pour mon travail qui consistais a m'occuper des chevaux de tout pleins de personnes. Je suis vétérinaire pour chevaux. Mais présentement je me servais de cette excuse seulement parce que je sentais quelque chose de mal dans l'air. J'avais toujours fais extrèmement confiance a mon instinct et il ne m'avait encore jamais tromper. Et cette fois-ci, il m'avertissait d'un danger.

J'avais terriblement peur présentement en fait, mais je ne savais pas pourquoi. Cette peur me prenais les entrailles et se propageais partout dans mon corps au point de me paralyser si je ne bougeais pas bientot. Je me levais le plus rapidement possible et essayais de tirer sa main dans le même mouvement. Il fini par se lever et m'aida a descendre jusqu'a la maison que nous avions louer, pour ne pas tomber dans les crevasses qui s'ouvraient souvent lors des orages.

Un éclair sur ma droite me fit sursoter et perdre pieds dans les rochers. Je sentais les pointes des branches et des rochers m'écorché les bras et les jambes comme je glissais le long de la falaise. Je sentie une main m'attraper rapidement et me tirer en arrière et ma chute arrêta aussitôt. Je me tournais et vit mon petit-ami rouge sous l'effort et me tirer lentement jusqu'a lui.

-Tu pouvais bien vouloir partir. Avoue que tu l'avais ressentis. Que tu savais qu'il y allait se passer quelque chose ici.

J'acquiessais d'un signe de tête et me relevais tranquillement. Je me penchais doucement vers l'avant pour voir la profondeur de la crevasse et eu un frisson dans le dos en m'imaginant ce qui me serait arriver si j'y serai tombée. Je n'aurais surement pas survécue au choc rendue a l'étape de l'écrasement. Surtout que je ne voyais pas le fond.

Il me tira vers l'autre coté afin que nous nous rendions le plus rapidement possible a la maison et surtout pour ne pas que je tombe dans le vide a nouveau. Cette fois il me tenait par le bras fermement pour être sur que rien n'arriverait encore. Mesure de sécurité. Mais je sentais encore la même étrange impression dans le creu de mon ventre. Et je savais que ce n'étais pas le foetus qui bougeais. Je ne le sentais pas encore bouger, il était trop petit encore pour cela.

Un autre éclair retentis et je sursotais a nouveau. J'entendis par la suite un grondement, mais qui ne venait pas du ciel. Je baissais le regard et constatais avec horreur que le morceau de terre ou nous étions allais s'effondrer dans quelques secondes. Apparement je n'étais pas la seule a l'avoir remarquer car mon petit-ami se dépêcha de me tirer le plus loin possible du bord.

Mais ce n'étais pas suffisant. La crevasse s'agrandie et nous tombâmes tout les deux dedans. Je n'étais pas le genre de personne qui hurlais lorsqu'elle avait peur. Mais cette fois, c'étais bien différent. J'avait une peur bleue des hauteurs et maintenant je tombais dans le vide. J'avais un mal de tête immense a cause du bruit du vent qui sifflais a mes oreilles.

J'essayais de voir si mon petit-ami était toujours vivant, s'il tombait toujours ou juste pour voir ce qui m'entourais. Mais rien. Je ne voyais que des kilomètres de terre défiler devant mes yeux. Je ne comprenais pas vraiment ce qui m'arrivais. Je tombais et tombais encore. Sans jamais arriver quelque pars. Que ce sois au fin fond du monde ou meme au paradis. Je n'arrivais nulle pars. Je tombais sans cesse. Je commencais a avoir froid, ce qui me confirmais que j'étais encore vivante. Mais que je ne l'étais pas nécéssairement pour longtemps encore.

Soudain j'entendis au loin un coup de tonnerre, puis j'entendis exactement le même coup de tonnerre en echo. Cepandant, l'echo provenais du fond de la crevasse. Une étrange douleur fulgurante m'envahie soudainement. Aucune expression ne pourrait convenir a la sensation de douleur que je ressentais présentement. C'était comme si j'étais un gant et qu'on me virais a l'envers en entier. Comme si mes organes allaient sortir d'un moment a l'autre et que ma peau allais se retrouver a l'intérieur. J'entendis un nouvel éclair avant de m'évanouir sous la souffrance. J'eus seulement le temps de constater que j'étais en train de mourir.


2.

Le première chose que je constatais en reprenant mes esprits. C'était que j'avais le visage mouiller. En fais, quelque chose de mouiller me lichais le visage. J'en concluais que je n'étais pas morte. Mais je ne comprenais pas ce qui m'arrivais. Surtout que je n'avais aucune idée de ce que je fesait couchée sur le sol. J'essayais de me souvenir ce que j'avais fais juste avant pour me retrouver sur le sol. Et me rendie compte avec horreur, que je n'en avait absolument aucune idée. Le dernier souvenir que j'avais était un immense bruit et de la noirceur partout autour de moi. Avant cela c'étais simplement un voyage en avion. Vers ou ? Je n'en savais rien.

J'identifiais rapidement la source humide sur mon visage et la poussais doucement du bras. J'ouvrais les yeux et regardais le grand danois devant moi. Il était vraiment beau et vraiment couvert de bave. Je m'assie tranquillement dans l'herbe et regardais autour de moi. J'étais dans une plaine. Il n'y avait aucuns arbres a proximitée. Ce qui enlevais la suposition d'être tombée d'un arbre. En fait, il n'y avait rien. Pas de bâtiment visibles, pas de bruits de voitures ou de ville. Le silence et de l'herbe. Ainsi que le chien que je ne devais pas oublier.

-Alors mon beau, ou suis-je maintenant ?

Je n'obtins pas de réponse venant du cabot, mais j'entendis au loin des bruits de sabots sur le sol. Le soleil m'empêchais de voir qui arrivais dans ma direction. Mais d'après sa carrure, c'était un homme.

-Wow Shean ! Qu'est ce que tu nous a trouver la mon garçon ?

L'inconnu se laissa tomber de selle et vint vers moi.

-Bonjour madame. Que faites vous seule ici ?

Il avait un accent que je ne connaissais pas. Comme s'il parlait plus d'une langue a la fois mais qu'il concervais les accents de certaines langues lorsqu'il parlait les autres.

-Oh, pardon madame, parlez-vous le francais peut-être?

Je ne m'étais pas rendue compte qu'il m'avait parler en anglais avant qu'il me le demande en francais. J'étais bilingue depuis mes 14 ans et j'avais toujours eu besoin d'utiliser mon anglais par la suite.

-Je parles très bien le francais et l'anglais monsieur.

Je me levais tranquillement et m'appercue que ma tête tournais énormément. Je faillis perdre pied mais l'inconnu m'attrapa par le bras avant que je tombe.

-Bien. Vous êtes étourdie madame ? Êtes-vous tombée ? Vous êtes blessée peut-être ?

Je levais les yeux vers lui et le regardais doucement. Je souriais parce qu'il me fesait penser a quelqu'un que je connaissais. Mais étrangement, je n'arrivais pas a me souvenir qui. Mais je sentais que j'aimais cette personne.

-Je suis un peu étourdie oui, mais je n'ai aucuns souvenirs de ce qui c'est passer. J'ai bien peur de m'être cogner la tête quelque pars et d'avoir oublier.

Il me regarda d'un air étrange mais ne dit rien. Il se recula un peu mais s'assura que je ne tombe pas a nouveau.

-Vous n'avez aucuns souvenirs de ce que vous faites ici ? Vraiment ? Vous savez, je ne veux pas porter de jugement hatif madame, mais il se trouve que vous êtes sur des terres privées, vêtue d'haillons. Vous pourriez donc être une voleuse ou même une putain.

J'ouvrais ma bouche aussi grande que celle d'un poisson et le fixais fermement de mes yeux bleus. Je n'arrivais pas a croire qu'il venait vraiment de me traiter de cette facon. Je baissais les yeux et ne vit rien d'outrageant dans mon habillement. D'accord mes jeans étaient sales, mon chandail manches courtes était parsemé de brindilles. Mais de la a me juger comme une putain.C'était pas mal éxagéré.

Mais je n'étais pas le genre de personne qui gardais sa langue sa dans poche et il allait le savoir plutot rapidement. J'inspirais profondémment pour mesurer la porter de mes paroles, mais finalement je laissais tomber. Il n'avait pas été diplomate avec moi, je ne le serai pas avec lui non plus.

-Wow minute ponpon. Je ne suis pas du tout une voleuse, ni une putain, ok ? Donc tes haillons, tu peux te les mêttres ou je pense. Je suis complètement perdue, je sais meme pas dans quel pays on est, ni dans quel mois...Je suis vraiment mélangée, et je suis coincée avec le roi des imbéciles...Génial.

De toute ma vie je n'avais jamais vu quelqu'un aussi surpris. J'étais persuadée qu'il allait me faire une crise de coeur dès l'instant. Il ouvrit la bouche, la referma, l'ouvrit a nouveau et fini par me dire, abasourdi,

-Venez-vous vraiment de me répondre...Cela? Ou est ce que j'ai tout halluciner? Je n'ai jamais, au grand jamais, entendu une femme parler sur ce ton a un homme, et encore moin pour lui dire ce que vous venez de me dire madame !

J'éclatais d'un grand rire devant son air ébahis et sa consternation évidente. Je ne savais pas selon qu'elle époque il vivait, mais selon ses vêtements et sa surprise, sa devait être selon l'ancienne éducation. Celle qui disait que les femmes étaient seulement faites pour faires des bébés et rien d'autre. Des bébés...Un éclair de mémoire me revint et je me souvint que j'étais enceinte. Si je l'étais toujours...Mais a première vue, je l'étais encore.

-D'accord. Je suis désolée de m'êttre exprimé aussi vivement, mais sachez MONSIEUR que je ne suis pas le genre de personne qui ne dit pas ce qu'il pense. Alors vous devrez vous y habitué. Maintenant si vous permettez, je dois retourner chez moi. Ou essayer de me souvenir ou j'habite ici et essayer d'y retourner.

Je saluais l'homme d'un mouvement de tête et m'appretais a partir. Mais l'homme ne semblais pas en avoir terminer avec moi, puisqu'il m'attrapa le bras et m'obligea a me tourner vers lui.

-Un instant madame. Je ne sais toujours pas qui vous êtes. Je veux bien croire que vous ne vous souvenez pas de ce qui vous est arriver puisque vous semblez en piteux état. Mais je veux au moin savoir qui vous êtes. Pour répondre a l'une de vos affirmation de tout a l'heure, sachez que nous sommes le 23 octobre 1845.

Quelque chose silla dans mon cerveau. Le 23 octobre 1845 ? Est-ce qu'il me prennait pour une imbécile ou quoi ? J'avais beau ne pas me souvenir ce que je fesait ici, je savais très bien qu'on était en 2015.

-Ok regardez, c'est pas parce que je suis completement perdue que vous avez le droit de vous foutre de moi ainsi. Je sais très bien qu'on est pas du tout en 1845 mais en 2015 d'accord? Alors arretez de vous foutre de moi monsieur.

Apparement, il était sérieux. Et plus que sérieux même. Je remarquais avec consternation que ses vêtements étaient des vrais. Pas des reproductions des films, des vrais vêtements d'époque.J'eu un choc terrible en constatant cela. Je n'arrivais pas a comprendre comment c'étais possible non plus. C'était tout simplement impossible ! Je ne pouvais pas etre en 1845 alors que j'étais née en 1992 ! L'homme me regardais d'un air étrange. Apparement lui non plus ne comprenais pas ce qui se passais ici.

La panique m'envahit soudainement et je ne savais vraiment plus quoi faire pour m'en sortir. Je commencais a hyperventiler et a avoir des nausées. L'homme dut s'en rendre compte car il m'attrapa le bras doucement et me dit :

-Venez avec moi, déplacer vous lentement et nous allons nous occuper de vous dans notre maison. Restez calme je vous pris.

Je commencais a avancer lentement mais je perdis connaissance avant d'avoir eu le temps de faire 2 pas.


3.

Je me réveillais beaucoup plus tard. Il fesait noir partout et je n'arrivais pas a distinguer quoi que ce soit. Je n'arrivais pas a me souvenir ou j'étais, ni comment jétais arriver a cet endroit inconnu. La seule chose que je me souvenais était qu'il y avait beaucoup de bruit....Puis je me souvins. Cette stupide rencontre avec cet homme, et notre chicanne bien étrange également. Une bouffé de chaleur m'envahit lorsque je me souvenais en qu'elle année j'était présentement et que je me rendie compte aussi que je ne me souvenais toujours pas comment j'avais fais pour atterir ici.

J'entendis des coups léger porter a la porte et une jeune femme entra doucement dans la piece. Lorsqu'elle ouvrit la porte il y eut un peu de lumiere qui entra dans la piece ce qui me permis de voir un peu ce qui m'entourais. Il y avait un vieux bureau pres de moi et quelques objets éparpillés.

La jeune femme s'avanca vers moi avec un bol d'eau dans les mains. Elle s'assit sur le bord du lit ou j'étais couchée et me fit boire un peu.

-Bonsoir madame. Je me présente Vivianna. Je vais m'occuper de vous le temps que vous vous sentiez mieux. Ne vous inquietez pas, je ne suis pas méchante.

Elle n'avait pas l'air méchante non plus. Elle semblait meme tres jeune. Je ne pouvais pas vraiment dire qu'elle age elle avait au risque de a blesser si j'étais loin du compte. Mais je pouvais toujours le lui demander.

-Quel age as-tu ?

Elle rougit et me répondit tranquillement,

-J'ai 14 ans.

Je lui aurais donner plus que sa...Mais apparement elle avait l'air plus vieille que ce qu'elle était. Mais je lui aurais donner au maximum 17 ans. Je vis qu'elle avait quelque chose a me dire mais qu'elle hésitait a interrompre mes pensées.

-Tu voudrais me dire quelque chose?

Elle rougit a nouveau. Est-ce que j'étais si intimidante? Ou bien j'avais un énorme accent qui la fesait rougir parce que je ne venais pas d'ici.

-Bien, c'est que...Monsieur Mackenzie voudrait vous parler. Et il a dit des que vous seriez réveiller. Alors...Vous êtes réveiller maintenant...

Je comprenais maintenant. Elle voulait que je me lève pour aller voir ''Monsieur Mackenzie''. Mais elle était trop gênée. Pauvre petite! Je me levais donc tranquillement et constatais avec stupeur que j'étais nue.

-Que, mais qui m'a déshabillée?

Elle rougit a nouveau et je compris que c'était elle. Du moin j'espèrais avoir raison sur ce point.

Elle alla me chercher des vetements propres et me les donna. Non non non, je refusais tout bonnement de porter cela. Une longue robe avec des manches boufonantes, non. C'étais tout simplement hors de question.

-Tu n'as pas quelque chose qui ressemble plus a ce que je portais lorsque je suis arrivée ici ?

Elle semblait totalement outrée que je puisse lui demander cela.

-Mais, madame, vous ne devez pas porter de tels vetements, ils sont réserver pour les hommes, pas pour les femmes.

-Ah non ? Bien, alors j'irais nue dans ce cas, les voirs.

Elle semblait tellement confuse et scandalisée que j'étais presque sure qu'elle allait me mourir dans les bras.

-Mais madame, vous n'y pensez pas, aller voir des hommes, nue comme un vers !
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